Posté le 8 décembre, Docteur Salla
Résumé de l’article:
Un passé immoral suit la multinationale Siemens, actuellement l’une des plus grandes entreprises d’ingénierie européennes, qui a aidé les nazis en utilisant le travail des esclaves pour construire des armes sophistiquées pendant la Seconde Guerre mondiale. L’effondrement du troisième Reich d’Hitler a clos un chapitre sombre du passé de Siemens, selon les historiens classiques. Or ce n’est pas le cas, selon les revendications de deux divulgateurs dont les témoignages conduisent à une conclusion inquiétante. Siemens était impliqué dans la construction secrète de milliards de puces RFID minuscules, pour suivre à la trace les humains enlevés et utilisés dans les travaux forcés dans les colonies secrètes dans l’espace et dans un commerce galactique d’esclaves.
Le rôle de Siemens dans son aide à l’Allemagne nazie dans la construction des armes de pointe durant la Seconde Guerre mondiale est bien connu, mais beaucoup moins connu est le niveau de participation de Siemens dans l’utilisation de travailleurs-esclaves. Le 24 septembre 1998, Siemens a décidé de commencer à indemniser les victimes de ses anciennes pratiques de travaux forcés, comme le décrit le rapport d’ Associated Press:
http://articles.latimes.com/1998/sep/24/news/mn-26067
Le rôle de Siemens dans la reconnaissance de son utilisation pendant la guerre du travail forcé et les efforts visant à indemniser les victimes est louable. Cependant, la reconnaissance est venue quarante ans après les événements en question, et conduit à des questions troublantes quant à savoir si la société était sincère ou simplement désireuse d’éviter recours collectifs intentés, notamment aux États-Unis.
Les lecteurs sont pardonnables de croire que l’indemnisation des anciens travailleurs-esclaves est un problème associé à un terrible chapitre de notre histoire récente. Cependant, il y a le témoignage d’un dénonciateur montrant que de telles pratiques continuent et Siemens est toujours impliqué.
William Pawelec était un expert en opérations informatiques et un expert en matière de programmation pour l’US Air Force. Il a lancé sa propre société de sécurité électronique, et a travaillé pour la SAIC et EG&G. . Il a eu accès à de nombreux projets classés.
Avant 2001, Pawelec a décidé de révéler ce qu’il savait à propos des projets noirs profonds. Il a réalisé une interview avec le Dr Steven Greer avec l’instruction stricte qu’elle ne serait publiée qu’après sa mort. Il est mort le 22 mai 2007 et la vidéo a été publié à titre posthume le 14 décembre 2010.
Parmi ses nombreuses révélations, on retrouve les informations concernant le développement des premières puces de traçage électronique RFID qui ont été développées dès 1979, selon Pawelec. Il a expliqué l’histoire de leur développement, et le rôle qu’a joué son entreprise basée à Denver dans la mise en place de réunions avec des organismes gouvernementaux, qui étaient intéressés à utiliser les puces à des fins de sécurité.
Dans l’interview avec Greer, Pawalec dit que l’un des objectifs de l’industrie était de développer une technologie qui nous permettrait de suivre ces personnes ou de les localiser rapidement.
Il a dit que les puces de traçage, qui étaient très petites et en forme de pilule, ont de multiples fonctions.
La puce en niobate de lithuim, de forme particulière, avait essentiellement un rôle similaire à un transpondeur (on pouvait recevoir une fréquence et elle répondait avec un numéro unique). Pourtant, il y avait beaucoup de capacités qui pourraient être ajoutées à cette puce comme le contrôle de la température, la tension, le pouls etc.
Plus tard, il a découvert qu’une petite entreprise de la Silicon Valley avait été mis en place pour fabriquer des milliards d’entre elles. Il a appris que “qu’après avoir fait des milliards et des milliards de ces petites puces” l’usine avait fermé un an plus tard, et toutes les informations sur les puces avaient disparu.
Pawelec dit que la petite entreprise chargée de faire des milliards de minuscules puces était liée à Siemens.
Voir le passage: https://www.youtube.com/watch?v=yytSNQ2ogD4&feature=youtu.be&t=21m55s
Pawelec a ensuite décrit comment son collègue, Bob, l’ancien chef de la sécurité pour le Département d’État américain, a été assassiné à Nairobi parce qu’il était trop près de savoir quelles personnes avaient acquis le contrôle sur les puces de suivie et qui avaient construit des milliards de puces pour un but inconnu.
Selon Pawelec, les gens derrière l’assassinat de Bob avaient infiltré le complexe militaro-industriel des États-Unis à son plus haut niveau, et ces gens pouvaient intimider et réduire au silence n’importe qui.
Le témoignage de Pawelec suggère que la société Siemens avait acquis les droits et le contrôle sur la technologie de la puce de traçage construit des milliards d’entre elles en moins d’une année à l’aide d’une filiale américaine, et ensuite fait en sorte que l’usine de fabrication ferme et que toutes les informations sur les puces de suivi disparaissent.
Fait important à signaler, la société de Siemens était associée à une force puissante infiltrée dans le complexe militaro-industriel américain, qui avait l’intention de dissimuler le vrai but des puces. Cette force cachée possédait le pouvoir d’enlever n’importe quelle personne qui s’approchait trop près de la vérité.
Il convient de rappeler que la fonction principale des puces minuscules, selon Pawelec, était de suivre les gens, et même surveiller leurs principaux processus physiologiques sur de grandes distances. Cela conduit à la question suivante: pourquoi la société du Siemens avait besoin de milliards de puces pour surveiller les gens sur de grandes distances? Pour la réponse, il faut se tourner vers le témoignage d’un autre dénonciateur.
Corey Goode affirme avoir travaillé pour un certain nombre de programmes spatiaux secrets sur une période de vingt ans, de 1987 à 2007. Il a dit qu’il a eu accès à “des plaquettes de verre intelligent» qui ont révélé la véritable histoire de l’humanité, en particulier les événements entourant la fin de la Seconde Guerre mondiale.
En un mot, Goode affirme que les éléments-clés du régime nazi avaient réussi à développer un programme spatial secret au cours de la guerre. La puissance principale, cependant, ne réside pas avec les SS d’Hitler, mais avec un certain nombre de sociétés secrètes allemandes (Vril/Thulé) qui ont utilisé la connaissance occulte et de leur grande richesse cachée pour construire un engin spatial à antigravité dans des endroits éloignés de l’Antarctique et l’Amérique du Sud.
http://exopolitics.org/german-secret-societies-hid-ancient-super-weapons-from-nazis/
Les sociétés secrètes allemandes avaient construit des bases sur la Lune et sur Mars, avant même la fin de la Seconde Guerre mondiale. Par la suite, les nazis de la division SS (spécialisé dans la haute technologie), qui était dirigée par Hans Kammler, ont infiltré le complexe militaro-industriel des États-Unis en utilisant les scientifiques lors de l’Opération Paperclip.
Les grandes sociétés américaines ont été infiltrés par de nombreux leaders de l’aérospatiale et de l’ingénierie des entreprises en Europe, au Japon et ailleurs. La société Siemens, avec sa longue histoire de collaboration avec l’Allemagne nazie, était un conduit naturel pour l’infiltration du complexe militaro-industriel américain.
Pawelec connaissait l’influence étrange exercée sur complexe militaro-industriel des États-Unis par les élites allemandes quand il s’est rendu à la zone d’essai de Tonopah pour un projet classifié. Après la mort de Pawelec, sa femme, Mary Joyce Annie Deriso, a partagé plus de l’information que Pawelec lui avait dit à propos de l’incident Tonopah, et qui avait réellement le contrôle de l’armée américaine.
On peut résumer ses révélations en une phrase: ‘ Les Nazis peuvent avoir perdu les batailles mais ils ont gagné la guerre. ‘Les nazis ont survécu à la Seconde Guerre mondiale et les élites allemandes ont pris le contrôle de l’Europe occidentale et des USA.
Dans une interview par email, Corey Goode a décrit le développement d’un commerce galactique d’esclave qui a impliqué les extraterrestres et les élites nationales qui contrôlent secrètement les gouvernements de la Terre et les forces armées. Ceci a été réalisé grâce à un réseau d’entreprises que l’on appelle le Conglomérat Interplanétaire (ICC):
http://exopolitics.org/galactic-human-slave-trade-ai-threat-to-end-with-full-disclosure-of-et-life/
La révélation de Goode fournit une réponse quant à la raison pour laquelle la société Siemens avait construit des milliards de puces traçables avec des identificateurs uniques. Ces puces ont été très probablement utilisés pour surveiller un commerce galactique esclave, et l’utilisation du travail forcé sur les colonies secrètes sur Mars et ailleurs dans notre système solaire.
En 1998, la société Siemens a avoué son implication dans la pratique nazie de l’utilisation de la main-d’œuvre esclave et a accepté d’indemniser les victimes. Siemens a estimé ce nombre entre 10.000 à 20.000 victimes. Si les témoignages de Pawelec et Goode sont exacts, alors ce chiffre est bien plus élevé.
En traçant des victimes dans un commerce d’esclaves galactiques illicite, à travers de minuscules puces RFID, la société Siemens est complice. Finalement, Siemens et d’autres sociétés impliquées dans l’exploitation du travail forcé dans des colonies secrètes dans l’espace, ou un commerce galactique d’esclaves, finiront par avoir à avouer leur participation, face à la justice, et d’indemniser les victimes dans ces vastes crimes contre l’humanité non divulgués.
Traduction, résumé: stopmensonges
Totalité: http://exopolitics.org/siemens-implicated-in-tracking-forced-labor-slaves-in-space/