Conférence du Dr Russell Blaylock traitent de l’influence du sucre dans le comportement.

Danièle Starenkyj – C’est Hippocrate qui, le premier, attribua au cerveau les fonctions « intellectuelles », « volontaires », et « sensibles ». Aujourd’hui, on affirme que le cerveau est l’organe biologique de la pensée. Il est cette partie de notre corps à travers laquelle se manifestent les phénomènes mentaux. Il est le siège de la personnalité, de l’affectivité, et du raisonnement.

Le cerveau est un tissu extrêmement complexe qui se présente comme un réseau de communication prodigieux avec ses 10 à 12 milliards de neurones, ses synapses, ses centres d’intégration de plus en plus élevés. Or, comme tous les organes de notre corps, il dépend essentiellement pour fonctionner normalement, d’une nutrition adéquate.

On a longtemps pensé que notre cerveau était « au-dessus » de tout ce que nous pouvions respirer, manger, ou boire. S’il est vrai que celui-ci est mis à l’abri de nombreuses substances qui peuvent circuler dans notre sang grâce à la barrière sang-cerveau, on sait que celle-ci peut être néanmoins facilement traversée par certaines substances comme l’alcool et les autres drogues, les métaux lourds, et les allergènes.

On a aussi établi que la carence en glucose, doublée de certaines déficiences en oligoéléments, peut le rendre fou1. Le cerveau étant le siège de nos pensées et de nos émotions, et le coordinateur de nos sens, s’il est chimiquement déséquilibré,  cela se manifestera automatiquement par des pensées déréglées, des bouleversements émotionnels qui pourront aller jusqu’au délire, et des désordres au niveau des perceptions sensorielles qui provoqueront des hallucinations. En peu de mots, le comportement de l’individu sera profondément affecté, et son tempérament de base sera exacerbé.

-Nutrition et comportement.

La relation est vieille comme le monde, mais aujourd’hui, grâce au laboratoire moderne, elle a quitté le domaine du folklore pour de venir scientifique, et susciter l’intérêt de nombreux scientifiques qui ont découvert qu’effectivement le cerveau en particulier, et le système nerveux en général, étaient influencés par certains nutriments. Oui, notre humeur, notre vivacité, notre mémoire, et même notre perception de la douleur sont affectées par ce que nous mangeons.

La biodisponibilité des neurotransmetteurs

Une grande partie de cette recherche s’est concentrée sur l’étude des neurotransmetteurs, des médiateurs chimiques par lesquels les neurones communiquent les uns avec les autres à la vitesse de l’éclair. On en connaît au moins 30 à 40 différentes variétés, et l’on sait que certains nutriments par leur présence ou leur absence, affectent leur production et leur disponibilité dans le cerveau.

La plupart des 30 à 40 intermédiaires chimiques considérés comme médiateurs sont élaborés  à partir de précurseurs tels que les acides aminés. L’insuffisance d’hydrates de carbone dans le régime modifie la production des médiateurs, et par conséquent la quantité et la qualité des communications entre les 10 à 12 milliards de neurones.

Donnons un exemple.  C’est un neurotransmetteur, la sérotonine dont le taux est le plus élevé dans l’hypothalamus, qui donne l’envie de dormir, et assure un sommeil profond et réparateur Or pour produire la sérotonine, les centres nerveux dans notre cerveau ont besoin de tryptophane, un acide aminé indispensable. Dans les années 1970, certains chercheurs2 ont cherché à découvrir comment on pouvait faire pénétrer plus de tryptophane, ce précurseur de la sérotonine, dans le cerveau de ceux qui faisaient de l’insomnie.

Le folklore a longtemps véhiculé que boire un grand verre de lait chaud avant de se coucher, favorisait le sommeil. Or cela est faux car le tryptophane est l’acide aminé le moins abondant dans la majorité des aliments protidiques, que ce soit la viande, les produits laitiers, ou les œufs.  Un acide aminé ne peut traverser la barrière sang-cerveau que dans la mesure où il est très abondamment fourni, ou qu’il n’a pas de compétition. Ainsi pour que le tryptophane puisse pénétrer dans les neurones, il faut que les autres acides aminés qui sont les constituants des protéines aient disparu du courant sanguin.

Comment y arriver ? Ces chercheurs ont découvert que cela pouvait se faire tout simplement en se mettant à manger des hydrates de carbone (glucides). Les glucides augmentent la sécrétion d’insuline qui chasse les acides aminés du sang pour les faire pénétrer dans les cellules des muscles. Le tryptophane qui ne se laisse pas chasser, va alors avoir la voie libre, et pouvoir pénétrer dans le cerveau. C’est alors que l’on a pu affirmer qu’un régime riche en protéines favorisait l’insomnie alors qu’un régime riche en hydrates de carbone favorisait le sommeil. Un repas du soir à base de viande, fromage, ou œufs, n’est pas un bon choix si l’on veut faire une bonne nuit. Pensons à nos ancêtres qui, à la fin de leur journée, se restauraient avec une soupe épaisse et du pain noir, puis allaient se coucher sans craindre de ne pas fermer l’œil.

Ces mêmes études ont établi que plus le régime est abondant en pain complet et en céréales non raffinées, plus un individu voit sa résistance à la douleur augmenter, et cela toujours grâce à la possibilité d’un apport optimal de tryptophane dans le cerveau.

Certains minéraux et vitamines comme le fer, le cuivre, le zinc, la thiamine, la pyridoxine, et la vitamine C sont des cofacteurs essentiels à la synthèse des neurotransmetteurs. Leur carence entrave cette synthèse et altère donc la fonction cérébrale.

Un point important à retenir est que la qualité des graisses que nous consommons (animales ou végétales, saturées ou insaturées) modifie la composition lipidique de la membrane cellulaire, et de ce fait agit sur le cerveau. En effet, cette membrane loge les récepteurs et certaines enzymes indispensables au métabolisme des neurotransmetteurs. Tout changement dans sa composition intervient dans la disponibilité des médiateurs et dans l’activité enzymatique, et donc entrave la transmission de l’influx nerveux d’un neurone à un autre.

On reconnaît maintenant qu’un régime très, très pauvre en graisses animales, relativement pauvre en graisses végétales et très riche en hydrates de carbone complexes, est sans aucun doute le régime qui favorise le mieux et le plus la vivacité mentale, et un comportement humain sain et agréable.

Métaux lourds et comportement

L’exposition au plomb réduit le nombre des synapses dans le cerveau, et diminue la capacité du cerveau à former de nouvelles synapses. Les synapses sont des régions de contact où s’effectue le transfert des renseignements entre les cellules du cerveau. L’aptitude intellectuelle augmente en fonction de l’augmentation des synapses et des dimensions de la jonction synaptique. Le nombre des synapses et leur dimension peuvent augmenter dans la mesure où l’individu continue tout au long de sa vie à avoir une activité intellectuelle stimulante régulière.

L’intoxication au plomb chronique même légère peut entraîner une hyperactivité, les accès de colère, le repli sur soi, les crises de larmes. L’enfant intoxiqué peut avoir des difficultés de l’apprentissage, des troubles du langage, une instabilité motrice. De nombreux spécialistes de l’enfance avancent que les échecs scolaires et les comportements antisociaux pourraient être le résultat de lésions cérébrales non diagnostiquées causées par une intoxication faible mais chronique au plomb.

Le mercure est également un métal lourd dont on connaît depuis longtemps les effets toxiques sur le cerveau. Au XIXe siècle, l’industrie chapelière utilisait du nitrate de mercure pour traiter le feutre des chapeaux. Ses ouvriers avaient une psychose particulière, et à c’est eux que nous devons l’expression « travailler du chapeau ». Aujourd’hui, les risques d’intoxication professionnelle demeurent élevés. On signale des empoisonnements à la suite de l’ingestion ou de l’inhalation accidentelles de fongicides à base de méthyle de mercure, mais aussi  de certains médicaments : diurétiques, laxatifs, injections vaginales à base de dérivés mercuriels utilisés pour leurs propriétés antiseptiques. On relève alors une dégénérescence des nerfs périphériques, de la moelle épinière, de la couche profonde granuleuse du cervelet, et des neurones du cortex cérébral. Il faut aussi mettre en garde contre la consommation trop fréquente de poissons contaminés au mercure. L’intoxication au mercure entraîne un syndrome neurologique avec tremblements des extrémités, mais aussi de la langue et des lèvres qui amènent à ne plus s’exprimer qu’avec difficulté. On remarque une salivation excessive, la perte des dents, et sur le plan psychologique, on observe de l’irritabilité, une tendance dépressive, et la modification de l’humeur.

Peut-on ignorer le pouvoir phénoménal d’adsorption des métaux lourds du charbon activé ?

Oligoéléments et comportement

Ces substances existent à l’état de trace dans l’organisme mais leur absence cause des lésions cérébrales. Nommons :

–  l’iode qui, insuffisante au cours de la grossesse, entrave la croissance du cerveau du fœtus et sa maturation, causant le crétinisme. Dans la petite enfance, la carence en iode empêche la division cellulaire, l’augmentation du nombre des synapses, et la myélinisation des cellules nerveuses, donc le développement de l’intelligence. Une carence légère (sans manifestation d’un goitre) cause fatigue, retard de croissance, incoordination motrice, troubles cognitifs, difficultés de l’apprentissage. Il faut veiller avec soin à un apport en iode adéquat dès que l’on écarte du régime le sel (pourtant indispensable) ou que l’on adopte un régime crudivore avec abondance de crucifères, ou d’arachides ou de soja insuffisamment cuits ou rôtis. La goitrine, présente dans ces aliments crus ou mal cuits, empêche l’organisme d’utiliser l’iode. La cuisson toutefois empêche l’action de la goitrine. Les régions montagneuses, dans le monde entier, sont des régions d’endémie goitrigène. Le sel de table iodé a permis d’enrayer la carence en iode qui, d’un point de vue neuropsychologique, est la carence en l’oligoélément qui affecte le plus gravement les êtres humains ;

– le cobalt joue un rôle essentiel dans le fonctionnement du système nerveux. C’est un composant de la vitamine B12 absolument nécessaire à la prévention et au traitement de l’anémie pernicieuse, indispensable au métabolisme de toutes les cellules dont celles du tissu nerveux. Un apport adéquat en vitamine B12 assure un apport adéquat en cobalt. Les végétariens stricts doivent veiller à avoir une source sûre de vitamine B12 dans leur régime habituel. À cause de la pollution des eaux, des poissons, et des algues, par le plomb et le mercure, il est plus sage de compter sur un supplément de vitamine B12 (hebdomadaire ou mensuel) que sur des concentrés d’algues ou autres produits de la mer ;

– le fer est un oligoélément dont l’importance pour le fonctionnement normal du système nerveux s’impose. La carence en fer (quelles qu’en soient les causes) entraîne des altérations du comportement qui se manifestent par de l’irritabilité, de l’apathie, une diminution de la durée de l’attention, et des mauvais rendements intellectuels. Toutes ces altérations sont réversibles en 7 à 14 jours dès que l’apport en fer est adéquat ;

– le cuivre, par sa carence mais aussi son excès, peut être responsable de graves désordres mentaux. Sa carence donne lieu à la maladie de Menkes aussi appelée maladie des cheveux en fil de fer, mais son excès, beaucoup plus courant à notre époque, cause des lésions cérébrales. L’excès en cuivre peut être lié à des causes environnementales (tuyauterie en cuivre), et à une alimentation riche en foies animaux, en huîtres, en champignons, en chocolat amer, en poudre de cacao, en thé, en boissons sucrées et acides (sodas), à un excès d’œstrogènes (contraceptifs). Un apport élevé en cuivre peut être un facteur important dans la survenue d’une certaine forme de schizophrénie (histapénie) caractérisée par de la paranoïa et des hallucinations, mais aussi dans le déclenchement de l’hypertension, le bégaiement, l’autisme, l’hyperactivité, et l’insomnie ;

– le manganèse affecte le système nerveux par sa carence qui entraîne des troubles de la coordination du mouvement volontaire (ataxie), et par son excès qui a des effets toxiques qui se manifestent par de la démence, et un syndrome parkinsonien (chez les mineurs exposés chroniquement aux poussières de manganèse) ;

– la carence en zinc chez les humains entraîne une détérioration neuropsychologique avec perte de l’appétit, du goût, de l’odorat, et des troubles importants du comportement et de l’humeur : accès de colère, hyperactivité, négativisme, et une certaine forme de schizophrénie, entre autres. Les meilleures sources alimentaires en zinc sont les aliments végétaux non raffinés, entiers : pain, céréales bien cuites, noix, graines. La carence en zinc semble altérer les taux cérébraux des neurotransmetteurs.

Source : http://www.acteur-nature.com/interview-d-experts-du-naturel/nutrition-et-comportement.html

 

Concrètement, sur les jeunes à l’école :

On se plaint de plus en plus du comportement des jeunes, de l’hyperactivité de certains d’entre eux, de leur manque de concentration en classe, de leur démotivation, de leur agressivité, voire de leur violence “gratuite”.

Comment expliquer que les jeunes des générations précédentes, sans être pour autant des “anges”, semblaient moins concernés par ces comportements dits asociaux ?

La nouvelle génération a-t-elle décide, du jour au lendemain, d’adopter ces comportements excessifs, pour le seul plaisir d’être différent, de provoquer, ou cela s’explique-t-il par d’autres causes ?

Et dans ce cas, quels sont les éléments qui permettent d’expliquer ces attitudes agressives ?

On peut penser, bien sûr et à juste titre, à l’éducation permissive de certains parents, à la violence si souvent exprimée dans les médias (télévision, films, journaux, jeux vidéo, etc.), au stress croissant auquel nous sommes tous plus ou moins confrontés, etc.

Mais il ne faudrait surtout pas sous-estimer un autre facteur souvent ignoré, qui contribue pour une large part à la genèse des difficultés relationnelles que bien des jeunes rencontrent aujourd’hui, et qui peut se résumer en un mot : l’alimentation.

Chacun sait que l’alcool, même consommé par une personne équilibrée mentalement et physiquement, peut, en un laps de temps très court, affecter son comportement psychique et être à l’origine d’actes délictuels et de violence. Mais, lorsqu’il s’agit d’alimentation, l’idée semble beaucoup plus difficile à accepter. Pourtant, les conséquences peuvent bel et bien s’avérer tout aussi redoutables.

Une alimentation dénaturée, riche en produits raffinés et en produits de synthèse divers et variés, par exemple, les préparations de type fast-food, si appréciées des jeunes, ne peut que contribuer au déséquilibre biochimique du cerveau et faciliter les excès de violence.

Une expérience a été menée aux Etats-Unis au Lycée Appleton, où sont accueillis des élevés ayant des problèmes comportementaux plus ou moins graves. L’objectif est de ne pas instaurer une discipline spéciale, mais de réguler leur comportement par une alimentation bien étudiée, sans colorants ni conservateurs ni ajouts chimiques, composée principalement de céréales complètes, de fruits et légumes frais, sans fritures. Les plats sont réalisés sur place, sans conserves. Il n’y a pas de distributeurs de sodas ; l’eau est servie à volonté.

Le directeur de l’établissement a remarqué d’importants changements dans le comportement des élevés, qui s’est très largement amélioré. Il a notamment observé une baisse de l’agitation et une amélioration de la concentration en classe ; les élèves obtiennent de bien meilleurs résultats pour un budget similaire à celui des autres écoles !

D’autres expériences analogues ont été réalisées en Suède et au Danemark avec des résultats identiques et ce, dans différents collèges. D’après les responsables de ces établissements, les formes d’agressivité entre les jeunes ont considérablement baissé et les résultats scolaires se sont, dans l’ensemble, nettement améliorés.

Ceci uniquement grâce au recours à des produits alimentaires de qualité, à dominante bio-végétarienne, non raffinés et crus.

Le Lycée Appleton n’est pas une école privée. Ce sont des enfants issus de milieux dits défavorisés qui acceptent de bon cœur de prendre des repas composés a partir de ce type d’alimentation. Alors la question que l’on est en droit de se poser est : pourquoi ne pas généraliser partout cette politique alimentaire ?

Paul Stitt, responsable de la société Natural Ovens Bakery qui distribue l’alimentation saine au Lycée Appleton répond a cette question dans le film Super Size me : « Il y a une forte opposition des sociétés alimentaires qui font du profit grâce aux écoles ; leurs dirigeants ne veulent pas être mis au placard, ils veulent rendre nos enfants accros ! »

A propos de cette même question, le Professeur Kelly, du Center for Eating and Weight Disorders (Observatoire des désordres issus de l’Alimentation et du Surpoids) de l’université de Yale, a déclaré :

“Les producteurs de sodas se vantent de contribuer à l’éducation, mais en réalité ils soutirent de l’argent à la communauté au lieu de lui en faire profiter. L’argent gagné ne va pas à l’éducation, il sert uniquement à leur enrichissement personnel.”

Comme les écoles ont souvent du mal à financer toutes les activités scolaires, notamment récréatives, extrascolaires et sportives, elles signent des contrats avec les géants des sodas. En 1993, par exemple,le secteur de Colorado Springs est devenu le premier secteur scolaire public des Etats-Unis à placarder des publicités pour une grande marque de fast-food dans ses couloirs et sur ses bus scolaires.

Quelques années plus tard, ce même secteur scolaire a signé un contrat de dix ans avec une marque de cola, qui a ainsi fait rentrer 11 millions de dollars dans ses caisses grâce à ce contrat. Ces types de contrat fixent des quotas de vente annuels, ce qui fait que les administrateurs d’écoles encouragent les élèves à boire des sodas même en classe !

Comme le fait remarquer Kerry Mazzoni, ancien membre de l’Assemblée Législative de Californie, ce procédé pratiqué par des responsables d’établissements scolaires consiste ni plus ni moins à “vendre les enfants américains au plus offrant”.

Lorsqu’une société fixe le taux de croissance annuel de son économie a 5 % minimum, il faut bien qu’elle décèle des secteurs de consommation potentiels à exploiter. Puisque le marché des adultes est relativement stagnant, elle s’attaque aux enfants. Voici ce qu’en dit un article de Beverage : “Influencer les écoliers des les classes élémentaires est devenu un enjeu très important pour les entreprises commercialisant des sodas.”

Marlene Canter, responsable du Board of Education de Los Angeles a déclaré : “On ne veut plus de sodas dans notre secteur. Certaines sociétés refusent notre censure ; elles disent qu’on leur fait perdre de l’argent. Mais ce n’est pas une question d’argent. C’est une question de santé.”

Pendant 9 semaines, on a proposé à des étudiants américains dont la nourriture était essentiellement composée de chips, cola, café, sucres raffines, chocolat, pizzas, conserves, vitamines de synthèse, de la remplacer par un autre régime. Ce dernier était basé sur une nourriture équilibrée atoxique et d’origine biologique, sans conservateurs, additifs, ni autres produits chimiques pesticides, herbicides, etc.

Au bout de cette période d’environ deux mois, les résultats universitaires des étudiants avaient progresse de 44 %, et en outre une augmentation de leur QI de 10 a 20 points a été relevée

Une autre étude américaine a concerné un groupe de jeunes filles de 11 à 15 ans, délinquantes et agressives, se nourrissant presque exclusivement de pain blanc, de jambon, de hamburgers, de thé, de café, de cola. Après quelques mois d’un régime à base d’une alimentation saine et équilibrée, l’équipe chargée de l’expérimentation a noté une nette amélioration de leurs comportements, avec une diminution significative du refus d’adopter une attitude plus sociable.

Quand nous savons que la chimie du cerveau (glycémie, neuromédiateurs, hormones, acides gras, etc.) est en relation directe avec la qualité des aliments que nous consommons, les résultats de ces expériences ne sont nullement surprenants. Il semble même évident que la modification des habitudes alimentaires de la jeunesse pourrait devenir l’une des meilleures réponses à l’accroissement de leur violence et de leur sociabilité.

Bien des personnes ou des jeunes sentent intuitivement qu’il y a quelque chose qui cloche, que la société tourne mal, qu’ils ne sont pas respectés, et répondent à cela par la violence, la brutalité etc. En fait en ce qui concerne les causes alimentaires, comme disait Coluche ” Il suffirait de boycotter les produits malsains pour que cela ne se vende plus “.

Source : http://www.carevox.fr/enfants-ados/article/l-alimentation-peut-elle

 

Mon avis sur tout ça :

C’est encore une abominabilité que j’ai trouvée en fouillant le web. Le principe est clair, ils foutent toute les saloperies qui peuvent dans l’alimentation qui en plus de faire crever font complètement péter les plombs.  Puits avec tout ça il sortent tout un tas de nouvelle “maladie” psychiatrique et personne ne semble d’où cela peut venir. Je comprend mieux pourquoi mon père croyait que j’été drogué il y a quelques années, maintenant que je mange “correctement” (merci le vélo) c’est moi qui voit les gens drogués. Avec toutes ces gens psychiatriquement   malade ils les bourrent de médocs  comme du café dans une cafetière italienne. Allé vous rendre compte de tout ça quand vous été enfermé dans le train-train quotidien ? On à tendance à stigmatiser les fumeurs mais manger ce qu’ils nous vendent revient au même.

Finalement tout s’explique…..

 


Ma playlist de méditation que vous pouvez entendre aussi en cérémonie :
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2 Commentaires
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Membre
Oscar
Août 30, 2014 10:29 pm

Bien sur! Je voudrais y ajouter quelque chose d’interessant: Dans ma propre famille, une maladie psychatrique très courante maintenant dans notre société y véhicule entre ma mère et ma soeur en particulier. Cela s’appelle la Cyclothymie. En gros, c’est un ramassis de contradictions pour une communication qui se fait du… Lire la suite »

Membre
GM
Août 31, 2014 12:44 pm
Répondre à  Oscar

Il faut reboot son corps en cas de problème , pour le faire il faut faire pire que le ramadan , un verre d’eau par jours , rien d’autre et tenir minimum 7 jours . Au bout de 3 jours il faut franchir une barrière mental qui nous force à… Lire la suite »