Cet article va se concentrer sur la façon dont on peut mettre fin au système ignominieux qui a régné sur le monde, le système américain / atlantiste qui s’étiole, mais aussi le système des élites mondialistes qui s’affirme par le remplacement du dollar par les DTS du FMI.

L’apport important des Anonymous

Je partage énormément de points de vue avec les Anonymous, qui selon moi possèdent la clé des changements que nous devons apporter. Connus surtout pour leurs actions sur l’Internet, les Anonymous sont riches d’idées et de savoir-faire pour nous aider à changer les choses. Suivre leurs travaux, écouter leurs vidéos est le moyen efficace de participer à un vrai renouveau. Mes conclusions personnelles, acquises par de nombreuses années d’implication étroite dans le véritable monde alternatif, rejoignent les thèses essentielles des Anonymous et m’inspirent également. Loin de toute utopie, ces idées sont un apport efficace pour les Éveillés.

Le présent document est une profession de foi et une présentation, à la foi de votre serviteur, et aussi de ce qui rend les Anonymous aussi indispensables pour le combat que beaucoup ici veulent mener.

Les révolutions, impossible de prédire leurs effets

La révolution, c’est l’acte de se révolter et de renverser la structure de pouvoir et de dominance. Ce processus doit être utilisé avec une précaution extrême. Les révolutions sont dangereuses des deux côtés et il n’est pas possible de prédire leurs conséquences.

Maintenant nous devons nous poser les bonnes questions. Sommes nous à un point de non retour ? Est-ce que le système actuel peut être réformé ? Si c’est oui, vous pouvez aller vers la révolte et la révolution.

Les révolutions commencent quand vous dites non à ceux qui prétendent avoir le pouvoir sur vous, et les révolutions prennent fin quand vous acceptez un nouveau statut quo, une nouvelle situation normale, que cette situation soit une amélioration ou non.

Les révolutions prennent toutes des formes similaires mais il y a une racine centrale, et c’est le mécontentement. Ce mécontentement est une émotion qui se construit sous la surface, une tempête qui naît dans l’esprit des gens et qui attend d’être libérée pour éclater.

Le problème est que c’est bien plus facile de faire exploser cette émotion que de mettre les gens d’accord sur ce qui devrait suivre. Ce n’est pas facile de faire réfléchir tout le monde sur ce qui devrait découler de la révolution. C’est donc éludé, ce qui est une erreur importante. Sans des objectifs précis le chaos s’installe après que le vieux régime s’écroule.

Parfois, vu le vide de pouvoir qui se crée, un tyran émerge pour ramener l’ordre. En conséquence le régime qui suit une révolution est souvent aussi totalitaire que le précédent. Le mécontentement n’est pas une force suffisante pour le succès d’une révolution dont l’objectif est de regagner une vie meilleure pour vos enfants et vos grands enfants.

Si on veut qu’un soulèvement réussisse, il doit être motivé par une vision claire et réaliste. Il n’y a rien de plus dangereux que des gens avec des rêves utopiques.

La fragmentation des façons de voir et l’impossibilité de fusionner le tout et de mettre tout le monde d’accord, une difficulté considérable

Nous, les peuples, sommes divisés. Nous sommes divisés en classes et en sous-classes. Des libéraux et des conservateurs, des libertaires et des anarchistes, des socialistes, des anarcho-socialistes, monarchistes, des capitalistes du marché libre étatique, des anarcho-capitalistes, et encore bien d’autres.

Il n’y a absolument aucune chance pour qu’aucun d’entre nous puisse convaincre tous les autres que notre solution est la bonne, et notre façon la meilleure. À moins bien sûr qu’un d’entre nous se hisse au pouvoir suprême et impose son pouvoir du bout du canon de son fusil. C’est ce qui s’est passé au cours de l’Histoire. Et c’est ce que nous devons éviter de répéter.

L’obligation d’entraîner les autres sur une idée, une vision, hors les utopies. De quelle nature cette idée doit être :

Un mouvement n’est réussi que s’il démarre avec des idées suffisamment fortes pour s’enraciner dans l’esprit des populations, et inspirer et motiver les autres pour les diffuser.

Il est possible pour des gens divisés de former une coalition dans des temps de grand besoin de s’unifier pour une idée. C’est seulement possible si cette idée correspond aux trois impératifs suivants :

  • • Cette idée centrale doit définir et expliquer un intérêt clair et commun qui permettra aux gens de travailler ensemble ce qui signifie la nécessité pour une unification même temporaire. Cela doit s’accompagner d’un sentiment d’urgence qui doit convaincre chacun de rassembler d’autres personnes dans sa communauté.
  • • Il faut une vision claire pour laquelle vous oeuvrez. Par quoi allez vous remplacer le système actuel. Peaufiner les détails n’est pas utile, il faut une vison large et abstraite, basée sur les principes. Tout doit être basé et construit  sur la stabilité sociale et rester éloigné de considérations utopiques fantaisistes. Le temps adéquat pour réparer les conditions de fonctionnement de  l’humanité n’est pas en période de crise. On peut remarquer historiquement que de telles choses se terminent en tragédies.
  • • Il faut un plan d’action et une compréhension claire des règles de l’engagement de chacun.

Ces trois paramètres pris conjointement constituent le paradigme conscient de la révolution. Rien de mystique dans cette appellation qui veut simplement dire : Pensez avant d’agir.

Commençons avec l’intérêt commun.  L’établir est facile quand on est informé. Et les gens autour de vous doivent être informés. Informez les donc. Moi vers vous et certains autres, vous vers d’autres encore. Les banquiers internationaux, grâce aux pantins dans les gouvernements nous ont placé sur une trajectoire qui nous mène vers une destruction totale de nos conditions de vie, de nos libertés, de nos intérêts, de notre bien-être. Et la perte de nos espoirs est graduelle et inexorable. Plus leur mainmise s’affirme, alors qu’elle est déjà forte, plus leurs prétentions à notre égard deviennent dures et sévères.

Le plus grand symptôme utopique c’est l’illusion qu’on peut convaincre le monde entier d’accepter un système monolithique de croyances. En même temps tous les grands mouvements sont guidés par une idée, une vision. Comment pouvons-nous résoudre cette contradiction apparente énoncée précédemment ? Comment trouver une vision commune sans tomber dans la fantaisie utopique que toutes les façons de voir du monde puissent être unifiés ?

La solution est simple et c’est bien ainsi, car seulement les idées simples peuvent être transmises de personne à personne sans se briser dans le processus.

Notre vision doit démarrer avec la constatation qu’il n’y a pas une seule et unique bonne façon dont les humains puissent vivre sur cette planète. Également, il est inacceptable de forcer les autres sans leur consentement, ou utiliser la violence et la coercition pour qu’ils obéissent à un pouvoir usurpé qui leur impose un ensemble de règles avec lesquelles ils sont en contradiction et qu’ils n’ont jamais accepté.

Assez bizarrement beaucoup aiment que les gouvernements mettent en application par la force leurs « bonnes intentions ».

Nous ne devons pas imaginer un système qui abritera tous les styles, toutes les thèses, mais au contraire un système qui permet la coexistence réussie entre de nombreux courants de pensées, à l’écart d’idéologies dominantes ou utopiques.

Imaginez un réseau de petites communautés formées volontairement mais agrégées ensemble, des fédérations élastiques et libres qui coopèrent étroitement pour une défense commune et un commerce mutuel, avec des centres de décisions faites au niveau local. Ce concept est simple, et il a été appliqué avec succès tout le long de l’Histoire.

L’exemple le plus significatif est la Fédération des Iroquois qui a unifié six tribus, chacune avec leur propre culture et traditions. La Fédération des Iroquois existait avant l’arrivée de Christophe Colomb et a perduré jusque 1770, quand ils furent conquis militairement par les États-Unis.

Énormément d’historiens prétendent que la structure de la Fédération des Iroquois a servi à la structure des Etats-Unis, à l’exception près que les Iroquois n’avaient pas de gouvernement central. Personne à la tête de la Fédération des Iroquois n’avait le pouvoir pour forcer une tribu ou une autre, ou des individus, à faire quelque chose contre leurs convictions.

Assez pour le moment. Je reviendrai sur le sujet dans les jours qui viennent, mais il y a ici beaucoup à méditer.

Laissons le mot de la fin aux Anonymous :

« Nous sommes les Anonymous. Nous sommes Légion. Nous ne pardonnons pas, nous n’oublions pas. Attendez vous à ce que nous soyons là. »

Algarath


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3 Commentaires
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véronique
véronique
Oct 24, 2016 7:46 pm

Il n’ y a pas besoin d’ un gouvernement.Cette idée a dû germer de cerveaux de psychopathes;quand on voit ce a quoi cela a abouti ce mot devrait être définitivement banni du vocabulaire.

véronique
véronique
Oct 24, 2016 4:00 pm

“Les révolutions commencent quand vous dites non à ceux qui prétendent avoir le pouvoir sur vous,” C’ est exactement cela mais tout le problème est que beaucoup n’ ont pas encore atteint ce stade.Il faut dire qu’ on nous a tellement manipulé depuis l’ enfance pour o-b-é-i-r- que c’ est… Lire la suite »

nrv13NRV
nrv13NRV
Oct 22, 2016 4:35 pm

Je n’ai pas senti un grand impact des anonymousse quand aux légers petits problèmes de libertés et vérités bafouées que nous venons de subir sous de faux prétextes. Il est clair que je n’en fais pas partie, et que les doutes s’accumulent quand à leur efficacité DANS NOTRE esprit d’actions.… Lire la suite »