53 opérations sous faux drapeau admises par les gouvernements

 Les attaques sous faux drapeau (false flags, en anglais) sont des attaques commises par un gouvernement contre son propre peuple dans le but de faire porter le chapeau à un ennemi politique ou autre.

Et lorsque l’on soupçonne un gouvernement d’avoir eu recours à cette pratique, il n’est pas rare de se faire traiter de complotiste, de conspirationniste, voire d’ennemi de la nation, souvent par des mougeons.

Pourtant, de telles attaques ont déjà été envisagées très sérieusement par des gouvernements, ou ont véritablement eu lieu par le passé, et dans certains cas, le gouvernement a même admis les avoir envisagées ou commises.

Voici 53 exemples…

1. Les troupes japonaises ont déclenché une petite explosion sur un chemin de fer en 1931, et ont accusé la Chine d’avoir commis cette attaque. Le Japon en a ainsi profité pour envahir la Mandchourie. Ce fait historique porte le nom d’ « incident de Mukden« . Le tribunal militaire international de Tokyo a ensuite découvert que plusieurs personnes impliquées dans cet incident avaient pris part à cette opération, dont Hashimoto, un haut gradé de l’armée japonaise.

2. Un major SS de l’armée nazie a admis à Nuremberg avoir commis, sous les ordres du chef de la Gestapo, plusieurs opérations contre leur propre peuple et leurs propres ressources, avant d’en accuser les Polonais dans le but d’envahir la Pologne.

3. Le général nazi Franz Halder a également avoué au procès de Nuremberg que le dirigeant nazi Hermann Goering avait admis avoir mis le feu au Parlement allemand en 1933, et avoir accusé les communistes de cet incendie.

4. Le dirigeant soviétique Nikita Khrushchev a admis, dans un de ses écrits, que l’armée rouge de l’Union soviétique avait bombardé le village de Mainila, en Russie, en 1939. Un bombardement dont fut accusée la Finlande et qui déclencha la « guerre d’Hiver ». Le président russe, Boris Yeltsin, a par la suite admis que la Russie avait été à l’origine de cette agression.

5. Le Parlement russe, le président russe actuel (Vladimir Poutine) et l’ancien dirigeant soviétique Gorbachev admettent tous que le dirigeant soviétique Joseph Staline a donné l’ordre à ses services secrets d’exécuter 22 000 civils et officiers de l’armée polonaise en 1940 dans le but d’en faire porter le chapeau aux nazis.

6. Le gouvernement britannique admet qu’entre 1946 et 1948, la Grande-Bretagne a attaqué à la bombe 5 navires sur lesquels des juifs tentaient de fuir l’Holocauste pour se réfugier en Palestine, et ont mis en place un faux groupe appelé « Défenseurs de la Palestine arabe », et ont ensuite fait en sorte que ce faux groupe revendique ces attaques.

7. Israël a admis qu’en 1954, une cellule terroriste israélienne opérant en Égypte a placé des explosifs dans plusieurs bâtiments, dont les installations de la diplomatie étasunienne, et avoir laissé sur places des « indices » laissant présumer de la culpabilité des Arabes (une des bombes a explosé prématurément, ce qui permit aux Égyptiens d’identifier l’un des terroristes. Les Israéliens ont par la suite confessé cette attaque.

8. La CIA a admis avoir engagé des Iraniens en 1959 pour qu’ils se fassent passer pour communistes et effectuent des attaques à la bombe en Iran afin que le pays se retourne contre son Premier ministre, élu démocratiquement.

9. Le Premier ministre turc a admis que le gouvernement turc a mené une attaque à la bombe en 1955 au consulat turc de Grèce (endommageant au passage le lieu de naissance du fondateur de la Turquie moderne) et avoir accusé la Grèce, dans le but de justifier et d’inciter à la violence contre les Grecs.

10. Le Premier ministre britannique a confessé à son secrétaire à la Défense qu’avec le président américain Dwight Eisenhower, ils avaient approuvé en 1957 un plan visant à mener des attaques en Syrie et à accuser le gouvernement syrien dans le but d’obtenir un changement de régime.

11-21. L’ancien Premier ministre italien, un juge italien et un ancien dirigeant du contre-renseignement italien ont admis que l’OTAN, avec l’aide du Pentagone et de la CIA, ont mené plusieurs attaques à la bombe en Italie et dans d’autres pays européens dans les années 1950, des attaques dont furent accusés les communistes dans le but de rallier les populations aux gouvernements d’Europe dans leur lutte contre le communisme. Comme l’a déclaré un ancien agent de ces missions secrètes, « il fallait attaquer des civils, des femmes, des enfants, des personnes innocentes et des inconnus sans lien avec la politique. La raison était simple : il fallait contraindre le peuple italien à soutenir le gouvernement et à demander davantage de sécurité ». Des attentats similaires ont ainsi été commis en France, en Belgique, au Danemark, en Allemagne, en Grèce, aux Pays-Bas, en Norvège, au Portugal, au Royaume-Uni ainsi que dans d’autres pays.

Exemples : l’assassinat du Premier ministre turc en 1960, des attaques à la bombe au Portugal en 1966, le massacre de Piazza Fontana en Italie en 1969, des attaques terroristes en Turquie en 1971, le massacre d’Atocha à Madrid en 1977, l’enlèvement et le meurtre du Premier ministre italien en 1978 et la fusillade de 28 commerçants du Brabant en Belgique en 1985.

22. En 1960, un sénateur américain, George Smathers, a suggéré que les États-Unis devraient lancer « une attaque sous faux drapeau » sur la baie de Guantanamo afin d’obtenir un prétexte pour déclencher des affrontements qui donneraient alors aux États-Unis l’occasion de renverser Fidel Castro.

23. Des documents officiels du département d’État des États-Unis d’Amérique démontrent qu’en 1961, le directeur du comité des chefs d’état-major interarmées ainsi qu’un autre haut gradé ont mentionné la possibilité de faire exploser le consulat de République dominicaine dans le but de justifier une invasion de ce pays. Ce plan n’a jamais été mis à exécution, mais a été sérieusement évalué.

24. Comme l’a admis le gouvernement des États-Unis, des documents récemment déclassifiés démontrent qu’en 1962, le comité des chefs d’état-major interarmées a signé un plan visant à faire exploser des avions américains (au moyen d’une ruse visant à échanger les avions) et à commettre des actes terroristes sur le sol américain afin d’accuser les Cubains. L’objectif était à nouveau d’envahir Cuba.

25. En 1963, le département de la Défense des États-Unis a rédigé un document promouvant des attaques contre des nations au sein de l’Organisation des États américains (tels que Trinité et Tobago ou la Jamaïque) dans le but d’accuser Cuba.

26. Le département de la Défense des États-Unis a même suggéré de soudoyer secrètement une personne du gouvernement de Castro afin qu’ils attaquent les États-Unis : « La seule chose qu’il faudrait prendre en compte, ce serait de corrompre un des commandants subordonnés de Castro afin qu’ils déclenchent une attaque à Guantanamo ».

27. La NSA a admis avoir menti concernant ce qui s’est réellement passé lors de l’Incident du Tonkin en 1964, et avoir manipulé des données afin de faire croire que des bateaux du nord du Vietnam avaient ouvert le feu contre un navire étasunien. L’objectif de cette opération sous faux drapeau était de justifier la guerre au Vietnam.

28. Un comité du congrès des États-Unis a admis que, dans le cadre de sa campagne « Cointelpro », le FBI avait utilisé plusieurs agents provocateurs entre les années 1950 et 1980 afin de mener des actions violents pour en accuser par la suite des activistes politiques.

29. Un haut responsable de l’armée turque a admis que cette dernière a brulé une mosquée de Chypre dans les années 1970 pour en accuser l’ennemi. Il a ainsi déclaré : « Dans une guerre spéciale, certains actes de sabotage sont mis en scène et ont fait porter le chapeau à l’ennemi afin de galvaniser la résistance populaire. C’est ce que nous avons fait à Chypre : nous avons même brûlé une mosquée ». En réponse au regard incrédule de son correspondant, le général a déclaré : « Je vous donne un exemple ».

30. Le gouvernement allemand a admis qu’en 1978, les services secrets allemands ont fait exploser une bombe sur un mur de l’enceinte d’une prison et planqué « des outils d’évasion » sur un prisonnier, un membre d’une faction de l’armée rouge auquel les services secrets voulaient faire porter le chapeau pour cette explosion.

31. Un agent du Mossad a admis qu’en 1984, le Mossad avait placé un émetteur radio dans un complexe appartenant à Kadhafi à Tripoli, en Libye. Cet émetteur diffusait des fausses transmissions terroristes enregistrées par le Mossad dans le but de piéger Kadhafi, en le faisant passer pour un soutien au terrorisme. Ronald Reagan bombarda la Libye juste après.

32. Le conseil sud-africain pour la vérité et la réconciliation a découvert qu’en 1989, le bureau de coopération civile (une filiale secrète de la South African Defense Force) avait proposé à un expert en explosifs de « participer à une opération dont le but était de jeter le discrédit sur l’ANC [le congrès national africain], en piégeant un véhicule de police d’un enquêteur sur une affaire de meurtre ». L’ANC aurait ainsi été accusée de cette attaque.

33. Un diplomate algérien et plusieurs officiers de l’armée algérienne ont admis qu’en 1990, l’armée algérienne a commis à plusieurs reprises des massacres contre des civils afin d’accuser des militants musulmans de ces assassinats.

34. Le volume « Special Forces Foreign Internal Defense Tactics Techniques and procedures for Special Forces » de 1994 de l’armée des États-Unis (mis à jour en 2004),recommande l’emploi de terroristes dans des opérations sous faux drapeaux pour déstabiliser les régimes de gauche en Amérique latine. Des attaques terroristes sous faux drapeau ont été menées en Amérique latine et dans d’autres régions du monde dans le cadre des « guerres sales » de la CIA.

35. Une équipe d’enquêteurs indonésiens a découvert qu’en 1998, lors de violentes émeutes, « des éléments de l’armée avaient été impliqués dans les émeutes, certains d’entre eux les ayant d’ailleurs délibérément provoquées« .

36. Un haut responsable de l’armée russe et des responsables du renseignement russe ont admis que le KGB a fait exploser des appartements russes en 1999 pour accuser les Tchétchènes. L’objectif était d’envahir la Tchétchénie.

37. Selon le Washington Post, la police indonésienne a admis que l’armée indonésienne a tué des enseignants américains en Papouasie en 2002, et a accusé des groupes séparatistes papous de ces assassinats pour que ce groupe soit classé « organisation terroriste ».

38. Le très respecté ancien président indonésien a également admis que le gouvernement a probablement joué un rôle dans les attaques à la bombe à Bali.

39. Comme l’ont rapporté la BBC, le New York Times et Associated Press, des responsables macédoniens ont admis que le gouvernement a assassiné sept immigrés innocents de sang-froid et prétendu qu’il s’agissait de soldats d’Al-Qaïda qui prévoyaient de tuer des policiers macédoniens. L’objectif était de rejoindre la coalition de la « guerre contre le terrorisme ».

40. Des haut-responsables de la police de Gènes, en Italie, ont admis qu’en juillet 2001, lors du sommet du G8, les forces de l’ordre ont lancé deux cocktails Molotov et fait croire qu’un officier de police avait été poignardé. L’objectif était de justifier la répression violente qui eut lieu contre les manifestants.

41. Les États-Unis ont accusé de façon fallacieuse l’Irak d’avoir joué un rôle dans les attentats du 11 septembre 2001, comme l’explique une note du secrétaire à la Défense. Il s’agissait de l’un des principaux prétextes pour déclencher la guerre en Irak. Bien que la commission d’enquête sur le 11-Septembre ait admis que l’Irak n’avait aucun lien avec ces attaques, Dick Cheney a déclaré sans sourciller que « les preuves étaient légion », et qu’Al-Qaïda avait des rapports très étroits avec le régime de Saddam Hussein, et que Dick Cheney disposait « probablement » d’informations auxquelles la commission d’enquête n’avait pas accès, ou encore que les médias ne « faisaient pas bien leurs devoirs » en n’ayant pas parlé de ces liens.

Des hauts responsables du gouvernement américain admettent désormais que la guerre en Irak a bel et bien été menée pour le pétrole, et non pour le 11-Septembre ou pour les armes de destruction massive. En dépit des affirmations antérieures de « loups solitaires », de nombreux responsables du gouvernement américain affirment désormais que le 11-Septembre était un acte terroriste soutenu par l’État, mais l’Irak n’était pas l’État qui a soutenu ces pirates (de nombreux responsables américains affirment désormais que le 11-Septembre était une opération sous faux drapeau commise par des éléments scélérats du gouvernement des États-Unis de l’époque).

42. Bien que le FBI admette désormais que les attaques à l’anthrax de 2001 ont été menées par un ou plusieurs scientifiques du gouvernement américain, un haut responsable du FBI affirme que le FBI a conseillé aux responsables de la Maison Blanche d’accuser Al-Qaïda de ces lettres à l’anthrax (et souvenons-nous à quoi ressemblaient ces enveloppes à l’anthrax). Les responsables du gouvernement confirment également que la Maison Blanche a tenté de relier l’anthrax à l’Irak afin de justifier le changement de régime souhaité par le gouvernement américain en Irak.

43. John Yoo, ancien juriste du département de la Justice, a suggéré en 2005 de poursuivre l’offensive contre Al-Qaïda en « donnant l’ordre à nos agences de renseignement de créer une fausse organisation terroriste. Cette dernière pourrait avoir ses propres sites Internet, ses centres de recrutement, ses camps d’entraînement et ses opérations de levée de fonds. Elle pourrait lancer de fausses opérations terroristes et revendiquer de vraies frappes terroristes, ce qui sèmerait la confusion dans les rangs d’Al-Qaïda et contraindrait les responsables de cette organisation à douter des identités des autres groupes, et à remettre en question l’efficacité de leurs communications ».

44. United Press International a rapporté en juin 2005 que :

Des responsables du Renseignement américain rapportent que certains insurgés en Irak utilisent un modèle récent du Beretta 92, sauf que le numéro de série de ces pistoles est absent. Ils n’ont pas été effacés physiquement ; ils semblent plutôt avoir été produits tels quels, sans numéro de série. Des analystes suggèrent que l’absence de numéros de série indique que ces armes ont été produites pour des opérations de renseignement ou des cellules terroristes bénéficiant de soutien gouvernemental conséquent. Les analystes émettent l’hypothèse que ces armes ont probablement été fournies par le Mossad ou la CIA, et que des agents provocateurs puissent utiliser ces armes intraçables tout comme les autorités américaines utilisent des attaques d’insurgés contre des civils afin de délégitimer la Résistance.

United Press International, juin 2005

45. Des soldats israéliens en civil ont admis en 2005 avoir lancé des pierres vers d’autres soldats israéliens afin d’accuser les Palestiniens. Le but consistait à trouver un prétexte pour réprimer les manifestations pacifiques des Palestiniens.

46. La police du Québec a admis qu’en 2007, des voyous armés de pierres lors d’une manifestation pacifique étaient en réalité des agents de police déguisés en civils.

47. En 2009, lors des manifestations contre le G20 à Londres, un membre du Parlement britannique a vu des agents de police déguisés en civils inciter la foule à se montrer violente.

48. Des politiciens égyptiens ont admis que des employés du gouvernement ont saccagé des artefacts d’une valeur inestimable dans un musée afin de jeter le discrédit sur les manifestants.

49. Un colonel de l’armée colombienne a admis que son unité a assassiné 57 civils et les a ensuite vêtus de combinaisons militaires, pour ensuite faire croire qu’ils avaient tué des rebelles au combat.

50. Ambrose Evans-Pritchard, rédacteur très respectable du Telegraph, affirme que le directeur du Renseignement saoudien, le prince Bandar, a récemment admis que le gouvernement saoudien contrôle les terroristes « tchétchènes ».

51. Des sources des plus hautes sphères dirigeantes des États-Unis ont admis que le gouvernement turc (la Turquie est un pays membre de l’OTAN) a mené des attaques chimiques dont fut ensuite accusé le gouvernement syrien. Par ailleurs, un haut responsable du gouvernement turc a admis, enregistrement à l’appui, que le gouvernement a planifié des attaques dont le gouvernement syrien a été accusé par la suite.

52. L’ancien chef de la sécurité d’Ukraine a admis que les attaques de tireurs d’élite qui ont déclenché le coup d’État en Ukraine ont été menées dans le but de piéger d’autres personnes.

53. L’agence d’espionnage britannique a admis avoir mené « des attaques numériques » sous faux drapeau contre des cibles afin de piéger des personnes en écrivant des propos illégaux et offensifs, dont la cible fut ensuite accusée.

Toutes ces attaques portent un nom : le terrorisme sous faux drapeau

Wikipedia parle de ces attaques en ces termes :

Les opérations sous fausse bannière (ou « sous faux pavillon », parfois désignées sous l’anglicisme false flag) sont des actions menées avec utilisation des marques de reconnaissance de l’ennemi, dans le cadre d’opérations clandestines.

Wikipedia

Le terme provient de l’époque des navires en bois, lorsqu’un vaisseau marin hissait le drapeau d’un ennemi avant de s’en prendre à une autre embarcation. Ce terme est si connu que les règles d’engagement militaire (navales, terrestres ou aériennes) interdisent l’utilisation de cette technique.

Les grands noms de l’Histoire en avaient tous connaissance

Il y a une foultitude d’attaques sous faux drapeau qui ont été commises pour manipuler les esprits de la population. Chez une seule personne, la folie est rare ; mais en groupes, en partis, en nations et en époques, la folie est la règle.

Friedrich Nietzsche

Le terrorisme est la meilleure arme politique qui soit, car rien ne contraint autant un peuple à la docilité que la peur soudaine de la mort.

Adolph Hitler

Bien entendu, les gens ne veulent pas la guerre… Mais après tout, ce sont les leaders de ce monde qui décident de la politique, et il s’agit toujours, ni plus ni moins, d’embrigader le peuple, que l’on vive en démocratie, en dictature fasciste, en régime parlementaire, ou en dictature communiste… Droit de vote ou non, le peuple peut toujours être amené à suivre ses leaders. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués, de dénoncer les pacifistes pour leur manque évident de patriotisme, et d’exposer le pays au danger. Cela fonctionne quel que soit le pays.

Hermann Goering, dirigeant nazi

Le moyen le plus facile de contrôler la population, c’est de mener des actes de terrorisme. Le peuple va alors être demandeur de lois liberticides si sa sécurité individuelle est menacée.

Joseph Staline

https://www.youtube.com/watch?v=pL9uaGezK3g

Source : http://www.info-contre-info.fr/societe-video/moyen-plus-facile-de-controler-population-cest-de-mener-actes-de-terrorisme-staline


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1 Commentaire
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B.S
B.S
Mar 24, 2016 8:21 am

A connaître l’origine du false flag. Merci pour l’article. Abasourdi par le déclenchement de la 2nd guerre mondiale. Un problème est en train de naître. A force de voir tout çà soit à la TV pour les versions officielles, soit sur les sites de divulgations pour les versions différentes, les… Lire la suite »