Cette nouvelle dimension occupe une position particulière par rapport aux autres dans notre réalité. Un indice concernant sa nature apparaît depuis quelques années. Ce qu'on imagine être de l’ordre de l’illusion d'optique ou plus généralement d’une perception erronée d’un phénomène difficilement compréhensible peut parfois trouver une explication satisfaisante avec une hypothèse qui est cohérente avec d’autre constatations. L’observation de deux soleils à certains moments de la journée et à certains endroits de la planète ainsi que la présence dans l'espace d’un corps stellaire périodiquement observable près du soleil n’indique pas la nature de l’objet détecté mais la dynamique avec laquelle se manifestent ces apparitions. Cette dynamique est celle de la 5e dimension. Le caractère aléatoire du phénomène vient du fait que cette dimension obéit au principe suivant lequel c’est une dimension qui en moyenne n’est pas observable. Dans un article précédent, j’ai utilisé les termes de « confinante » et de « confinée » pour illustrer son invisibilité au contraire des trois autres dimensions d’espace et du temps. Dans cette perspective, un objet avec une composante dans la 5e dimension peut s’avérer être momentanément observable selon des conditions d’observation relatives à une configuration dimensionnelle adéquate (comme celle permettant de constater la présence de vortex cosmo-telluriques dans un espace quadridimensionnel). C’est le cas des étoiles et du soleil en particulier. Ce qu’on observe sur Terre sont des phénomènes physiques apparentés à ceux rencontrés dans le domaine de l'optique mais dont l'image (2e soleil) est à 4 dimensions, incluant le temps d'apparition. Dans l'optique classique, les écrans où sont observés les images sont à 2 dimensions. Notre espace-temps étant à 4 dimensions, notre réalité joue le rôle d'écran pour les objets observés. La vidéo suivante est très explicite à la minute 1:07 où on peut voir que les deux soleils observés ont chacun une couronne de lumière entourant complètement leur disque, orangée pour le soleil et noirâtre pour le second, visible momentanément.

https://youtu.be/NrHAWNsKfQ4

Le corps stellaire observable près du soleil est ce même corps qui est observé sur Terre et rendu lumineux par le soleil, par effet de lentille gravitationnelle locale (focalisation ponctuelle de la lumière solaire sur ce corps), effet mettant en évidence le lien entre la structure à 5 dimensions des étoiles et les propriétés gravitationnelles de cette dimension, tels que les vortex cosmo-telluriques visibles dans les deux vidéo mises en liens. Elles montres l'interaction du corps noir stelllaire avec le soleil par l'intermédaire de ces vortex qui sont de nature gravitationnelle. Ils constituent un mode d'interaction supplémentaire caractéristique de la 5e dimension. Ces deux vidéo montrent cet objet en transit près du soleil, notamment à partir de la minute 9:53 sur la seconde video.

https://youtu.be/k-3KIPjdIEg

Un autre effet de la physique qui vient s’ajouter à cette optique à 5 dimensions est la variation de la qualité de la lumière (effet de lumière cendrée), non mesurable avec des instruments usuels conçus pour de l’optique classique (à 4 dimensions). Cette variation montre que la lumière s’est modifiée à cause d’une différence d’ouverture dimensionnelle dans cette 5e dimension. Par le principe de conservation de l’énergie, si une ouverture inhabituelle dans cette dimension devient observable, alors l’énergie qui a permis cette ouverture doit être prise à quelque part. La lumière est composée de particules appelées photons. C'est lorsqu'ils passent cette ouverture qu'ils voient nécessairement leur énergie potentielle individuelle varier, alors que leur énergie totale reste constante. Ils possèdent une énergie de masse mais aussi une énergie potentielle propre, comme le suggère la théorie quantique des champs qui s'occupe de décrire la physique uniquement en terme de particules. Le photon est en effet porteur également du champ électromagnétique qui se comprend en terme d'énergie potentielle.

Les phénomènes en relation avec cette 5e dimension nous conduit à nous demander quelle peut être sa forme mathématique. Nous avons vu que ceux observés en géobiologie et en optique sont à l’échelle humaine, c’est-à-dire macroscopique. Sa forme peut donc avoir celle des quatre autres dimensions que nous connaissons. D’un autre côté, elle est réellement invisible ou confinée. Ces deux caractères en physique sont contradictoires car ils impliquent des structures mathématiques opposées : des dimensions ouvertes (non compactées) comme notre espace et notre temps et des dimensions compactées, ces mêmes dimensions strictement invisibles à l’œil nu qui sont utilisées dans les théories physiques des hautes énergies. Cette 5e dimension est en quelque sorte la synthèse de ces deux types de géométries. D’où un défit qui se profile pour concilier mathématiquement ces deux aspects apparemment contradictoires, comme l’a été de concilier la dualité corpusculaire et ondulatoire de la matière. Sauf que cette fois-ci, ce n’est pas le contenu en matière qui pose cette contradiction, mais la structure même de l’espace. Il n’existe donc a priori aucune raison pour que cette dualité géométrique n’existe pas, à moins que le contraire ne soit démontré. C’est un défit à relever pour la communauté scientifique mondiale des physiciens et des mathématiciens pour intégrer au sein d’un modèle géométrique unique cette 5e dimension.

Une question se pose alors : pourquoi ces événements dimensionnels n’apparaissent seulement que depuis quelques années ?

La structure du soleil ainsi que celle du système solaire ont des prolongements dans cette 5e dimension. La dynamique générale de notre système doit donc permettre ponctuellement l’apparition de tels événements. Mais pourquoi n’a-t-on pas perçu l'existence et la nature de cette 5e dimension avec les éléments dont on pouvait disposer jusqu’à maintenant ?

C’est seulement avec ces phénomènes supplémentaires qu’il devient possible de comprendre pleinement cette nouvelle dimension qui révèle sa nature ambivalente entre la physique et l'esprit, avec toutes les implications qui peuvent exister actuellement. Aux phénomènes physiques inhabituels viennent s'ajouter des perturbations de nature spirituelle qui sont des manifestations d'activités paranormales parfois extrêmement présentes comme je l'ai affirmé à la fin de mon précédent article "Les changements de l'esprit et la 5e dimension."


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