Dans cet article, l’équation non linéaire à l’origine de l’expression de la force F de l’article précédent montre le lien très étroit qui existe entre ce qu’on appelle la métrique (qui est la définition en termes physiques de la géométrie de l’espace-temps), énergie potentielle et phénomènes identifiables à des forces. Cette équation montre que la variation de l’énergie potentielle ϕ dans l’espace (mais constante dans le temps) doit être comprise, dans notre espace tridimensionnel, comme l’émergence de forces dépendant de ce potentiel. On obtient alors la formule de la force F en tant que solution de cette équation. La conclusion est que toute force d’interactions de la matière dans notre espace-temps classique à 4 dimensions tire son origine de la variation d’énergies potentielles d’un espace-temps 5d qui utilise la notion de variation locale de l’inertie (de la masse et de l’énergie) associée à l’énergie potentielle ϕ.

La force F qui s’exerce sur la masse m est la conséquence du type de géométrie de l’espace-temps 5d : la valeur de F ne dépend pas linéairement de m, contrairement au cas classique. Cette non-linéarité structure l’expression des champs (de forces) d’interactions de l’espace-temps classique. La source du champ et le champ lui-même ne font plus qu’un pour ne représenter chacun séparément que deux aspects d’une seule structure géométrique non linéaire. Un électron, qui est une particule chargée électriquement, se comprend dans ce contexte comme une « condensation granuleuse » du champ. Cette « condensation » caractérise une zone physique (et géométrique) de transition où le caractère éruptif de la force permet de donner sens autant à la dynamique « explosive du soleil » qu’à l’émission de particules dites virtuelles (parce que non détectables, par définition) en théorie quantique des champs. L’émission de ces particules « qui transportent les forces » des interactions en physique entre particules de matière ordinaire « se réduit » à des échanges sous forme de paquets d’énergie structurée par la non-linéarité géométrique de l’équation, appelés particules virtuelles.

Dans cette formulation, le concept de force sert à modéliser ce qu’on peut appeler une « tension de surface spatio-temporelle » qui est l’analogue de la force qui existe à la surface d’une goutte d’eau ou d’un liquide. On peut parfois observer un temps d’attente avant qu’une goutte d’eau se dissolve à la surface d’un verre d’eau. Ce petit temps d’attente permet aux forces qui existent à la surface de la goutte et qui la maintienne sphérique de s’annuler au contact de celles qui maintiennent ensemble les molécules de la surface de l’eau du verre. L’annulation locale de la tension de surface (comme celle d’une toile qu’on tend) de l’eau dans le verre avec celle de la goutte lui permet d’intégrer le contenu du verre. Le même mécanisme a lieu avec la création ou l’annihilation de particules en physique des hautes énergies comme au Centre Européen de Recherches Nucléaires (CERN) où cette fois la tension de surface est celle de l’espace-temps lui-même.

Pour accomplir des voyages interstellaires, l’annulation locale de cette tension de surface (qui permet à une goutte d’eau de se dissoudre) produit momentanément un passage (trou) dans l’espace-temps, permettant le transfert  d’un véhicule spatial de notre cosmos à un autre univers où les distances sont plus courtes. On retrouve cette idée de passage dans un autre univers dans la vidéo suivante, entre 1:07:43 et 1:10:33.

Autre exemple: une explosion nucléaire où les noyaux atomiques sont brisés (en des plus petits) annihile aussi momentanément la tension de surface spatio-temporelle. Cette transition de structure des atomes (de lourds à plus légers) engendre des ondes qui font jouer à l’espace-temps le rôle d’une toile 4d sur laquelle apparaît des ondulations. Une autre illustration de la notion de tension de surface : dans les haut-parleurs, la membrane qui diffuse le son joue le rôle de la toile agitée de vibrations. La membrane est mise en mouvement par ce qu’on appelle un « transducteur » (un dispositif qui transforme les impulsions électriques en vibrations). Par analogie, l’explosion nucléaire à la même fonction que le transducteur (« transducers » en anglais). Par conséquent, la première bombe qui a explosé a joué le rôle d’avertisseur de notre niveau technologique pour des civilisations extraterrestres qui ont capté ces ondes 5d de suppression de tension de surface spatio-temporelle. Les ondes dites gravitationnelles produites par une telle explosion et dues à la disparition d’une partie de la masse des noyaux atomiques sont un cas particulier compatible avec un formalisme à 4 dimensions de la physique usuelle.

L’activité de recherche en physique des hautes énergies est l’étude des propriétés de transformation des particules entre elles. Les « algorithmes de transformations» des particules qui en découlent permettent de passer d’un ensemble de particules initiales entrant en collisions entre elles à un ensemble de particules finales, en fonction des énergies impliquées dans les réactions de transformation. Pour donner une image, c’est comme dans un jeu de billard où les boules après collisions auraient changé de taille et de couleur en fonction de la force du joueur. Le fait d’observer un changement de couleur des boules dans cette partie de billard ne permet pas de savoir pourquoi cela arrive. La physique 4d est obligatoirement limitée dans la description des observations en termes de causalité par rapport à un espace-temps 5d plus complexe. Le danger potentiel d’augmenter les énergies de collisions des particules est d’atteindre des seuils éruptifs de tension spatio-temporelle engendrant des dégagements d’énergie non maîtrisés, même à un niveau faiblement relativiste mais avec un potentiel environnant  ϕ qui varie pour atteindre des valeurs où la force F devient « éruptive », dans le sens de  l’équation de l’article précédent. C’est un mécanisme similaire de disruptions macroscopiques momentanées et locales du « continuum » 4d qui se produit lors d’un transfert hyperspatial pour utiliser des raccourcis dans la réalisation des voyages interstellaires. Ces disruptions dimensionnelles sont des altérations de la géométrie de l’espace-temps classique, dans le sens qu’elles ne sont pas prévisibles par l’ensemble des théories officiellement admises en physique et construites sur un espace à 4 dimensions. Par conséquent, aucune théorie à 4 dimensions n’est en mesure de démontrer l’absence de tels phénomènes. Un ensemble de disruptions maîtrisées permet de produire de l’énergie (énergie de fusion), mais dans le cas contraire, le dégagement est de type explosif. Ce danger existe pour toutes installations de physique expérimentale utilisant un système d’accélération de particules.


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5 Commentaires
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Greg
Greg
Août 4, 2017 11:36 pm

Serait il possède de rendre ses travaux et bien d’autres à son propriétaire, à savoir Jean Pierre Petit ?
Surtout qu’il n’a jamais été avare en discussions et confessions sur ce sujet comme bien d’autres encore…

Simon
Simon
Août 2, 2017 4:08 pm

J’ai beau avoir lu plusieurs fois, j’ai rien compris ! En fait, j’ai compris les mots mais absolument pas où tu veux en venir !!! Bref, tu me parlerais chinois que je comprendrais davantage ! Peut-on faire plus compliqué SVP ?!!! En un mot, c’est quoi le message pour un… Lire la suite »

Zboubiflex
Zboubiflex
Août 9, 2017 10:34 am
Répondre à  Simon

C’est du niveau lycée, comment veux tu qu’il vulgarise plus ? Ouvre un bouquin de temps en temps, ducon.

QuotientIntelectuelDefectueux
QuotientIntelectuelDefectueux
Sep 29, 2017 3:42 am
Répondre à  Simon

Je suis de ton avis Simon, l’article me semble être une traduction d’un article en anglais, auquel l’auteur aurait reformulé a sa sauce, avec des phrases à rallongent incompréhensibles tout en mettant des mots qui sont là, être la, donnant un non sens total au thème de l’article (exemple “”un… Lire la suite »