De même qu'il est fréquent de trouver des détritus là où s'arrêtent les touristes sur la route des vacances, il n'est pas rare de découvrir des résidus de différentes natures, là où se posent les ovnis.

Ce n'est sans doute pas très écologique… néanmoins, ces rejets provenant d'un phénomène insaisissable dont nous ne connaissons pratiquement rien, sont d'un intérêt et d'une importance considérable.

Leur étude pourrait bien en effet nous apporter de précieux renseignements sur la nature réelle des ovnis.

"Cheveux d'Anges"

Les ovnis surprennent parfois les témoins en laissant tomber sur leur passage une étrange matière que l'on a l'habitude d'appeler "Cheveux d'Anges". Il s'agit de fils blanchâtres et floconneux qu'il ne faut pas confondre avec "les fils de la vierge" ces fils d'araignées emportés par le vent.

Voyons ensemble quelques exemples de chute de cette mystérieuse substance :

Le 17 octobre 1952, à Oloron-Sainte-Marie, dans les Pyrénées Atlantiques, de nombreuses personnes furent témoins des évolutions d'un objet en forme de cigare qui libéra une trentaine de soucoupes volantes pendant que des fils blanchâtres étaient observés descendant lentement vers le sol.

Ces fils offraient une petite résistance à la traction et se dissolvaient dans l'air après peu de temps. Le 27 octobre 1952, à Gaillac dans le Tarn, se produisit le même phénomène.

Des témoins observèrent un long cylindre qui évoluait dans le ciel en compagnie d'un grand nombre d'objets de forme discoïdale. De cette formation se détachait une matière bizarre ressemblant à une pluie de laine de verre.

Les témoins eurent la surprise de voir que cette substance, au contact du sol, devenait gélatineuse avant de fondre et de disparaître complètement. Ce jour-là, même les officiers de la gendarmerie furent témoins de l'événement.

Ils ne purent que constater l'importance de la chute sur le sol de cette substance non identifiée. II y avait des filaments sur une très grande surface au sol, sur les toits, ou encore accrochés au fils électriques...

Cette étrange substance semblait se dissoudre au contact de la peau des témoins...

2“Cheveux d'anges” répandus au sol

 

Aux Etats Unis les photos qui furent prises pendant de tels évènements montrent des surfaces très étendues (aussi grandes que des terrains de football) recouvertes de ces cheveux d'Anges.

À Florence, le 27 octobre 1964 une pluie de Cheveux d'Anges eut de drôles de conséquences. En effet, les équipes de football de Florence et de Pistoia qui disputaient un match arrêtèrent de jouer pendant que les dix milles spectateurs du stade levaient la tête pour contempler les évolutions de deux boules lumineuses qui survolèrent le terrain de sport à trois reprises.

Au même moment des filaments de couleur blanche descendirent du ciel sur Florence et ses environs. Laissant toute la population dans la plus totale expectative !

Une substance poudreuse

Il arrive aussi que l’on trouve une substance poudreuse sur les sites présumés d’atterrissages d’ovnis. À la Roche en Brenil, le 5 novembre 1964, un objet fut aperçu posé dans un pâturage. Les témoins ont observé également trois humanoïdes évoluant autour de l’engin.

Finalement ils repartirent en laissant derrière eux une substance blanchâtre et une empreinte en forme de cercle de trois mètres de diamètre dans le sol qui avait l'apparence de la cendre.

Le 31 Janvier 1963, à Ganada de Algosaray en Argentine, deux frères virent un objet atterrir dans un jardin puis repartir instantanément. Ils remarquèrent que l’ovni avait laissé des traces dans l'herbe et alertèrent
la police.

Dépêchés sur les lieux, des enquêteurs découvrirent une poudre blanchâtre sur le sol. Une matière semblable fut trouvée le même jour sur un autre lieu d'atterrissage, à Tucuman, toujours en Argentine. Cette
double découverte exclut à priori un canular de la part des deux frères.

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C'est à Bueno-Aires que des OVNIS ont laissé des traces de leur passage sous formes d'étranges champignons disposés en cercles de 8m de diamètre.

 

En novembre 1971, dans l 'état du Texas, des témoins racontèrent avoir vu près du sol, un objet volant d'une luminosité aveuglante. Une enquête fut ouverte par un collaborateur du docteur Hyneck qui releva que la terre à l'endroit où s'était posé l'objet, avait une teneur en calcium de vingt à trente pour cent supérieure à
celle des environs immédiats.

Le sol était recouvert d'une poudre blanche et la surface de la terre formait une croûte cassante et fragile. Cette anomalie se manifestait sur une portion de terrain qui avait la forme d'un anneau. Cet anneau était luminescent dès la tombée de la nuit.

Il est également important de noter que sur l'emplacement de tels atterrissages, avec présence de poudre blanche, la végétation ne repousse plus.

Analyse de la substance recueillie à Florence en 1964 :

Lors d’une rencontre de football interrompue  par une chute de “cheveux d’anges”, un élève ingénieur eut la présence d'esprit de déposer un peu de cette matière dans un tube de verre stérile qu'il porta rapidement à l'institut de chimie de l'université de Florence.

Dans le laboratoire, les professeurs Giovanni Canneri et Danilo Cozzi firent une rapide analyse microscopique et spectrographique. Ils découvrirent du bore, du silicone, du calcium et du magnésium.4

Ils déclarèrent en outre, qu'une fois allumés les filaments brûlaient en laissant un résidu transparent et soluble. Conclusion fut tirée que l'on était en présence d'une substance à structure macromoléculaire inconnue.

Des subtances huileuses au sol

Comme certaines voitures en mauvais état sur une place de parking, les ovnis laissent parfois des taches suspectes sur le lieu de leur atterrissage ; le 5 août 1971 à Beugnies dans le Nord de la France, le fils de l'adjoint du maire de la commune découvrit une trace en forme de cercle d'un diamètre de 5 mètres 50 constituée d’une unique bande de matière blanchâtre et brillante d'une largeur de 15 centimètres.

La même substance était visible sur le feuillage d'une haie toute proche. Le 3 octobre 1954 près de la Rochelle, un objet de 5 mètres de diamètre sur 2 mètres 50 de hauteur abandonna des liquides huileux.

Le 9 octobre 1954, à Briatexte, dans le département du Tarn, un autre disque de 6 mètres de diamètre laissa des taches brunes et huileuses. Le 28 juillet 1966 à Montsoreau dans un champ de blé un objet lumineux ayant fait son “nid” sur une surface de 3 mètres de diamètre couvrit également le sol d'une substance huileuse.

Parfois se sont des gouttes d'un liquide étrange et épais qui attire l'attention des enquêteurs. Ainsi en juillet 1965, dans le vignoble de Saint Gervaziy du Gard, trente pieds de vigne portaient sur leurs feuilles d'étranges brûlures provoquées par des gouttelettes d'un produit gras.

Le 19 août de la même année deux étudiants virent un grand disque lumineux atterrir dans un champ près de l'institut polytechnique national de Mexico.

En plus des marques d'un tripode sur le sol et de l'herbe brûlée, les enquêteurs de l'institut national mexicain trouvèrent des gouttelettes qu'ils qualifièrent d'étranges, car de composition moléculaire inconnue mais proche de celle des huiles minérales.

Les propriétés de ces substances

En général, ces mystérieux liquides ont de curieuses propriétés que n’ont pas les huiles “classiques”. En 1964 aux Etats-Unis dans l’état de la Géorgie, un représentant nommé Parham, conduisait sa Chevrolet sur une route déserte vers une heure du matin, quand soudain il vit un objet brillant fonçant sur lui.

Le moteur de son véhicule eut des ratés et notre homme dû s'arrêter sur le bas côté de la route. Un ovni en forme de soucoupe volante descendit alors juste au-dessus de sa voiture. Soudainement la chaleur devint suffocante et Parmhan commença à paniquer.

Il resta blotti derrière le volant de son véhicule et fut rapidement soulagé lorsqu'il vit l'engin s'éloigner quelques instants plus tard. Il alla conter son aventure à la direction de l'aviation fédérale de l'aéroport
de Spartanburg où des experts examinèrent sa voiture et découvrirent qu'un liquide avait coulé de l’engin et abîmé la peinture du toit et du capot du véhicule.

Les taches furent analysées à l'aide d'un compteur Geiger, et faut-il s’en étonner... Elles étaient
radioactives !

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Nous retrouvons aussi un liquide radioactif dans un cas daté du 16 août 1968. Les services de renseignements de l'aviation Argentine et la commission de l'énergie atomique de Buenos-Aires enquêtèrent
ensemble sur un cas d'atterrissage signalé dans la région.

À l'endroit où le témoin déclarait avoir vu l'objet se poser, subsistait une tache de 50 cm de diamètre. À l'aide des compteurs Geiger on releva que cette portion de terrain était fortement radioactive.

La liste des résidus que l'on peut éventuellement rencontrer sur les lieux d'atterrissage de ces engins ne s'arrête pas là. On peut encore trouver différentes matières toutes plus étranges les unes que les autres.

Ainsi, le 12 mai 1962, après un atterrissage à Bahia-Bianca en Argentine, les témoins découvrirent des résidus carbonatés. Les laboratoires de l'université nationale du sud firent des analyses qui révélèrent la présence d'une forte proportion de carbonate de calcium et de traces de carbonates de potassium.

Le 11 septembre 1967, après le passage d'un ovni dans la province de Santa Fe, des résidus furent de nouveau analysés, on y trouva des traces de carbone, de magnésium, de fer, de nickel et d'aluminium.

At Boise, Idaho, surveyor E G  Hall sees a UFO through his  surveying instrument        Date: 20 February 1948

Le même jour, toujours en Argentine, au cours d'une terrible tempête, toute une famille observa un grand objet lumineux qui laissait derrière lui une odeur désagréable et une fumée épaisse ressemblant à de la suie.

A Belo-Horizonte au Brésil, on découvrit près d'un lieu d'atterrissage, des grains noirâtres, légers, de formes irrégulières et qui s'écrasaient facilement entre les doigts en dégageant une odeur désagréable.

Ces grains furent portés à l'institut central des géo-sciences de l'université fédérale de Minas-Grais. Les résultats n’ont jamais été communiqués.

Résidus métalliques

Enfin, il arrive que l'on puisse récolter des résidus métalliques de certains ovnis, comme ce fut le cas dans le sud ouest du Brésil le 14 décembre 1954.

Ce jour-là, à Campinas, un grand nombre d'habitants de la ville, aperçurent, dans le courant de l'après-midi, trois objets en forme de disque dont l'un d’entre eux paraissait en difficulté. En effet, il oscillait très fortement et ne pouvait conserver son altitude.

Celui-ci descendit jusqu'à une centaine de mètres du sol et les témoins entendirent alors plusieurs bruits sourds qui semblaient correspondre aux changements de direction du disque. Avançant par bonds successifs, l'objet laissa échapper un mince filet de liquide argenté.

Puis il reprit de l'altitude et s'éloigna avec les deux autres objets restés en attente, comme s’ils avaient attendu que leur “collègue” reprenne le contrôle de son engin.

Des recherches dirigées par les autorités furent rapidement organisées pour retrouver trace du mystérieux liquide tombé au sol lors de l’oscillation du disque volant.

Il en fut retrouvé sur les toits et sur les chaussées ; et plusieurs dizaines de grammes furent recueillies et remises au gouvernement Brésilien. Un porte parole de ce dernier, déclara, peu de temps après, que la matière récupérée était de l'étain et que cette analyse ne permettait pas de conclure sur l’origine de sa formation.

Heureusement, tout le métal n'était pas tombé dans les mains des autorités... Ledocteur Risvaldo Maffei, chimiste d'état, en avait ramassé. Il déclara que si le métal en question contenait bien de l'étain, il contenait
aussi et surtout 10% d’un autre métal qu'il n'était pas parvenu à identifier.

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Poissons, charbon et pluies étranges...

En 1887 dans le comté de Durham, Edward Cook se retrouva sous une étrange pluie. Au début de grosses gouttes d'eau commencèrent à tomber, puis des centaines de petites grenouilles de la taille du pouce tombèrent en même temps.

En 1794 une troupe de Napoléon se retrouva sous une pluie de crapauds, ils durent quitter l'endroit où ils campaient tellement il en tombait !

Plus récemment en 1973 des joueurs de golf en Arkansas virent des milliers de grenouilles tomber pendant
une pluie très forte.

Il n'y a pas eu que des pluies d'animaux :

À Londres en 1877 dans les rues de Kilburn, il y eut une pluie de charbon qui provoqua de nombreux débats dans la plupart des pays du monde. En 1876 une pluie de viande se produisit dans le Kentucky.

Le 27 août 1968 une pluie de sang et de viande se déclara au Brésil. Cette information fut retransmise par de nombreux journalistes.

En 1971 une pluie de haricots se déroula toujours au Brésil. En 1687 des fragments d'un matériau noir et fibreux tombèrent près de la ville de Klaipeda dans la Baltique. Ces morceaux sentaient l'algue pourrie, étaient de grande taille et se déchiraient facilement...

L'odeur disparut quand les feuilles séchèrent... Pour la plupart des scientifiques, ces phénomènes sont dûs généralement à des tempêtes et des cyclones qui en passant dans certaines zones aspirent ces animaux ou ces objets et vont les déposer avec la pluie qui les accompagne un peu plus loin...

Cela n'explique pas pourquoi des zones non touchées par ces tempêtes rencontrent des phénomènes
insolites... Pourquoi les pluies ne concernent-elles à chaque fois qu’une seule espèce d’animal, et pourquoi les animaux ont-ils le plus souvent la même taille, comme s’ils provenaient d’un élevage.

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Charles Fort auteur du Livre des Damnés, a recensé quantité de ces phénomènes survenus tout au long des siècles. Une théorie vous est présentée dans cet article selon laquelle des engins extraterrestres perdraient parfois, ou se débarrasseraient volontairement d’une cargaison devenue inutile.

Conclusion

Depuis toujours, nous avons eu la visite d'engins inconnus qui nous ont “arrosé” de matières mystérieuses.
Et si nous remontons dans le temps, nous apprenons qu'en mai 1652, près de Rome, une masse de gelée poisseuse tomba du ciel au moment même où un grand objet lumineux était observé.

En mars 1796, une grosse masse de gelée tomba à Lusatia d'une boule de feu aérienne. Ainsi, depuis des siècles, d'étranges substances tombent sur notre Terre.

Les phénomènes météo ne peuvent pas toujours être incriminés et la présence de radioactivité ne peut s’expliquer que par la présence de moteur à énergie nucléaire. Si les ovnis larguent parfois de mystérieuses
substances, nous n'avons pas encore trouvé d’explications à leur nature, du moins dans l’état actuel et officiel de nos connaissances...

J'ai moi-même récupéré des résidus de Nickel que Marius Dewilde (voir Top Secret n°17) m'a généreusement offerts. Certains autres ont été jetés sur le bord de cette fameuse voie ferrée…

Voilà peut-être la raison de la fermeture de cette portion de voix qui est désormais interdite à tout passage et qui se voit gratifiée d’un accès strictement protégé ! (voir Top Secret n°18 page 17).

Source : Claude Burkel/Top Secret N°20

 

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